Top 5 : les numéro dix de la Nazionale

Par Christophe Malcangi publié le 05 Juin 2016
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Demetrio Albertini

5ème : Daniele De Rossi

Francesco Totti venait juste de quitter l’équipe nationale et Roberto Donadoni décidait de dédier ce numéro sacré à l’un des meilleurs à son poste en 2008 avec l’AS Roma. Cet été, Daniele De Rossi inscrit un but sur un coup-franc dévié face à l’Equipe de France mais va manquer l’un des quatre pénalty de l’Italie en quarts de finale contre l’Espagne, l’élimination fut nourrie de regrets. Un peu de remords donc pour DDR qui reste jusqu’à aujourd’hui même un indéboulonnable pour Conte.

4ème : Demetrio Albertini

En 1996, Roberto Baggio n’est pas convoqué par Arrigo Sacchi et c’est Albertini qui endossera le tant convoité numéro. Titulaire au Milan AC jusqu’en 2002, Demietro Albertini peut être encore considéré comme l’un des meilleurs milieux de terrains italiens de ces trente dernières années, il remportera quantité de scudetti et comptabilisera 79 sélections avec la Squadra Azzurra. Il jouera toutes les rencontres de la compétition mais son équipe est sortie en phase de poules par l’Allemagne et la République Tchèque…

3ème : Alessandro Del Piero

Pinturicchio portera le numéro dix à plusieurs occasions, d’abord à partir de 1998 et ce sans conteste sous la houlette de Cesare Maldini (il avait alors inscrit trente-deux buts au cours de la saison), toutefois cela se fera sans être brillant du tout et sans même marquer. Bis repetita à l’Euro 2000 sous Dino Zoff, il inscrit cette fois un but contre la Suède mais gâche deux énormes occasions face à la France en finale de la compétition, ce avant que Wiltord et Trezeguet ne chamboulent tout, on pourra ainsi dire que cette attribution ne lui a pas nécessairement porté bonheur.

2ème : Francesco Totti

Il devient le numéro dix de la Nazionale en 2002, on se souviendra de son expulsion litigieuse face à la Corée du Sud suite à une dite simulation près du point de pénalty. En 2004 Totti ne joue qu’une seule rencontre contre le Danemark, il crache d’ailleurs sur Christian Poulsen, prend trois matchs puis voit la Suède et l’homologue scandinave passer sous son nez. Consécration en revanche en 2006 où il remporte la Coupe du Monde et offre la quatrième étoile à son pays, contribue grandement au succès final en inscrivant le rigore décisif face à l’Australie et en délivrant la pré-assist à Gilardino en demi-finale contre l’Allemagne.

1er : Roberto Baggio

Qui de mieux que Raffaello pour symboliser le port du numéro 10 ? Le ballon d’or de Caldogno a participé à trois Coupes du Monde avec la Nazionale, fut un trequartista doté d’un talent et d’une intelligence sur le terrain hors du commun, il inscrit cinq buts au cours des phases éliminatoires directes de la Coupe du Monde de 1994 et participe évidemment à la finale du mondial, ne revenons pas sur son pénalty manqué.




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Christophe Malcangi

Rédacteur référent pôle news



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