Prandelli choisit Valence
C’est un autre grand entraineur italien qui s’exporte à l’étranger, preuve que les techniciens de la botte ont bonne réputation. Après le Galatasaray, qu’il a entrainé en 2014, Cesare Prandelli n’avait pas retrouvé un challenge qui l’intéressait. C’est désormais chose faite avec Valence.
Un club à la dérive
Pour celui qui a été sélectionneur de l’équipe d’Italie jusqu’à la Coupe du Monde 2014, Valence n’a rien d’une grande équipe qui tourne à plein régime. En effet, les joueurs du Mestalla galèrent sur ce début de saison et peinent à trouver leurs marques. Valence paye ainsi son manque de stabilité depuis 4 ans et fait rappeler certains clubs milanais dans son organisation. Après le départ d’Unay Emery en 2012, le club n’a jamais trouvé la bonne solution sur le banc. Ainsi, ce sont 6 entraineurs qui se sont succédés sur le banc dont certains gros flops. Parmi ceux-ci, Gary Neville et le dernier limogé Pako Ayestaran (qui sort de 4 défaites consécutives) font office de derniers de la classe. Prandelli arrive donc dans un club en chantier, qui a changé plusieurs fois de tactique, de staff et de façon de jouer. Pas évident en cours de saison. Il pourra néanmoins peut être s’appuyer sur quelques petites fondations, celles construites par l’intérimaire du club, Salvador Gonzales avec lesquelles il a remporté les deux des trois derniers matchs de Liga.
Retrouver ses fondamentaux
Le choix de Cesare Prandelli à la tête de Valence (18ème de Liga) n’est pas forcément un choix par défaut. Le technicien italien est réputé pour faire produire du beau jeu à ses équipes et de créer des groupes cohérents. C’est tout le challenge qui l’attend du côté de l’Espagne. Après avoir signé un contrat jusqu’en 2018, il a demandé aux dirigeants de lui faire confiance sur du long terme. Surement une demande liée à son expérience désagréable du côté de la Turquie, terminée avec un licenciement. Du côté de Valence on semble plutôt confiant à donner les rênes à celui qui dans sa carrières d’entraineur a récolté 44,1% de victoires en carrière et une moyenne de 1,53 points par match. En 2 ans cumulés en tant qu’entraineur de club/sélection, Prandelli va donc faire ses premiers pas en Espagne, quelques années après un autre Italien, Claudio Ranieri, qui lui avait réussi à glaner quelques trophées lors de son passage. Souhaitons lui au moins la même réussite, si ce n’est plus !
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