Top 5 : Le Napoli et sa « scoumoune » en coupe d’Europe

Par Nicolas Soldano publié le 15 Août 2017
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5ème : Les barrages de C1, du déjà vu…

En août 2014, le Napoli doit aussi passer par les barrages. Leur statut de tête de série leur permet « normalement » de passer entre les gouttes, en ayant comme adversaire soit un LOSC en perte de vitesse, Copenhague ou le Standard de Liège. Raté. Ce sera l’Athletic Bilbao de Valverde, Aduriz et Munian qui sort d’une grosse saison, terminant juste derrière les trois « ogres » espagnols. Résultat : un nul, une défaite et le club est reversé en C3.

4ème:  l’Europa League, 3 ans de suite.

Généralement, quand un club termine premier de son groupe de C3 ou qu’il est reversé de son groupe de Champions League, les seizièmes d’Europa League sont relativement abordable, dû au statut de tête de série. Sauf apparemment pour le Napoli qui hérite du FC Porto en 2014 et de Villarreal en 2016. Et pour les 2 matchs un même scénario : un match nul à domicile malgré une forte domination et un manque de réalisme, et une défaite sur le fil à l’extérieur. En 2015, les Azzurri tombent sur le Wolsburg de Perisic, De Bruyne, Schurrle et Luiz Gustavo, favori de cette C3 avec Séville. Pourtant, Bruges, le Dynamo Kiev, le Dnipro et le Zénith auraient pu être au menu. Le dénouement sera cependant plus heureux cette fois ci puisqu’après un carton à l’extérieur (4-1 en Allemagne), le Napoli se qualifiera sans problème. Et dire qu’en 1992, le Napoli était tombé sur le PSG de Weah, encore en seizième de finale de C3. Quand ça ne veut pas…

3ème : Les groupes de la mort

En 2010, le club partenopei est de retour dans la plus prestigieuse des compétitions après 20 ans d’absence. Un tirage clément ? Encore raté. Le Napoli tombe dans le groupe de la mort de cette édition de C1 avec le Bayern, Manchester City et Villarreal. Sauf que contre toutes attentes, le Napoli va repousser City à la troisième place et titiller le Bayern ! Les hommes de Mazzarri finissent deuxième en ne perdant qu’une petite fois à Munich. En 2013, le Napoli est de retour en Champions league, et imagine donc que la foudre ne pourra pas frapper 2 fois au même endroit. Et bien si. Deuxième groupe de la mort d’affilé, avec Arsenal, Dortmund et l’OM. Et là le scénario sera beaucoup plus cruel. Premier à égalité avec Arsenal et Dortmund (12 points chacun !), le Napoli tombera à la 3ème place du groupe sur une boulette de Mandanda face à Dortmund dans le temps additionnel du dernier match. Le Napoli est reversé en C3 pour un petit but à l’extérieur. Écœurant.

2ème : Les huitièmes de C1

En 2012, les Napolitains héritent des Blues, futurs vainqueurs, et se font éliminer après un scénario (comme souvent) rocambolesque en perdant 4-1 en prolongation après avoir gagné 3-1 au San Paolo. La saison dernière, le Napoli tire le gros lot en écopant du Real Madrid, grand favori à sa propre succession. Et malgré une belle résistance à l’aller et 60 minutes de frissons au match retour, l’élimination est logique. Le plus rageant pour les Napolitains, c’est qu’ils n’ont toujours pas passé cette barre symbolique des huitièmes de finale dans leur histoire. Un petit coup de pouce du destin lors d’un prochain tirage ne serai pas de trop.

1er : Le baptême du feu

Durant l’été 1987, le peuple de Naples est en liesse après le premier scudetto de l’histoire du club et se languit de pouvoir enfin voir son équipe en coupe des clubs champions. Mais les tifosi vont vite être ramenés sur terre : pour son premier match de C1, le Napoli tombe, au premier tour, sur le Real Madrid de Butragueño, champion d’Espagne en titre. Après un premier match hors du temps et à Huit clos en Espagne, perdu sur le score de 2-0, les Napolitains vont pousser au retour dans un San Paolo en fusion mais cela ne suffira pas. Un bizutage en règle.




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