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Bilan de la saison 2012-2013 : AS Roma - Calciomio.fr

Bilan de la saison 2012-2013 : AS Roma

31 mai 2013 à 20h00         Morane Murgia
Bilan de la saison 2012-2013 : AS Roma

Bilan de la saison 2012-2013 : AS Roma

AS Roma AS Roma 

Une de plus. Une nouvelle saison cauchemardesque pour l’AS Roma qui n’a fait que décevoir au cours de la saison. Des beaux matches et du beau jeu, certes, mais trop rare pour avoir le mérite d’être souligné. L’échec Zeman, l’échec Andreazzoli, Totti et De Rossi en larmes lors de la finale de la Coupe d’Italie, retour sur une saison triste décevante à souhait. Sortez vos mouchoirs.

Je sais combien sont fous les tifosi romanisti, mais je suis préparé. Vous ne savez pas à quel point moi je suis fou.” Telles ont été les paroles, ô combien alléchantes de James Pallotta, président de l’AS Roma au cours du dernier mercato estival. De suite, il réclame Michael Bradley, américain, afin d’avoir dans son équipe une icône américaine et offre quantité de millions laissant ainsi carte blanche à Sabatini et Baldini pour leurs petites brocantes. Jusque là, le rêve prend forme et après une très mauvaise saison, les tifosi fantasment de nouveau, de rouge et de jaune, mais surtout de grands résultats. Qui plus est, si l’arrivée de Zdenek Zeman suscitait le doute des plus pessimistes, un grand nombre des supporters voyaient déjà le jeu offensif du Bohème en rose, en positif, en buts, en rêve érotique, ou presque. Que nenni. Nouvel échec, nouvelle déception, le légendaire 4-3-3 de Zeman n’obtient pas les résultats espérés. Pourquoi ? Le schéma tactique du néo-entraîneur romain met du temps à se mettre en place, en effet, les automatismes n’arrivent pas, les joueurs sont perdus sur le terrain, la défense est complètement à la rue et les attaquants se fatiguent à revenir défendre fréquemment. Autre problème, sa tendance à critiquer présidents, directeurs sportifs et clubs de Serie A ne lui attirent plus les sympathies d’antan. Zeman est comme ça, à prendre ou à laisser. Sombrant piano piano dans les profondeurs du classement avant d’être lâché par ses propres joueurs, qui n’arrivaient (ne voulaient ?) plus à suivre ses consignes tactiques, il sera limogé après une énième défaite face à Cagliari. Avec les remerciements de Sabatini et Baldini, good-bye Bohème, Welcome Andreazzoli. Andreazzoqui ?

Aurelio Andreazzoli est dans le staff de l’AS Roma depuis dix ans, où il était arrivé en même temps qu’un certain Luciano Spalletti, en tant qu’adjoint. Contrairement à son prédécesseur, lui varie ses formations. Un peu trop d’ailleurs ? Il enchaine: 4-2-3-1, 4-3-3,  3-4-2-1, 3-4-3, tout y passe! Et une stabilité (aussi légère soit-elle) est à la clef de ses changements, ce qui permet à la capitale italienne de l’emporter face à la Fiorentina, la Juventus ou encore le Napoli pour clôturer une nouvelle saison désastreuse. Fort heureusement, au cours de l’édition 2012-13, l’AS Roma a pu compter sur un Totti en très grande forme qui a bien souvent et à lui seul, porté son équipe vers l’avant, mais n’étant pas immortel, il faudrait vraiment commencer à se poser des questions. Un joueur de 36 ans doit-il continuer à être le point de repère de tout une équipe ? Ce qui est certain, c’est que pour la deuxième saison consécutive, des transferts faramineux (pour un club qui n’y était clairement pas habitué), un total de trois entraîneurs, l’AS Roma coule, une nouvelle fois et ne donne aucun signal. La finale perdue en Coupe d’Italie face à la Lazio est la goutte qui fait déborder le vase, les romains ne sont jamais entrés dans le match, le coaching d’Andreazzoli est incompréhensible et c’est toute une équipe qui rentre au vestiaire, têtes baissées (sauf Osvaldo qui insultait son coach). Les tifosi montrent leur mécontentement, se font entendre, et veulent voir autre chose dès la saison prochaine, sans trop y croire.

La saison de l’AS Roma

roma-graph

- 6ème du classement

- Battue en finale par la Lazio

- 43 matches, 22 victoires, 8 nuls, 13 défaites, 80 buts marqués, 60 buts encaissés

L’équipe-type

Meilleur buteur : Osvaldo 17
Meilleur passeur : Totti 14
Joueur le plus utilisé : Totti 3074 minutes de jeu
Joueur le + de fois entré en jeu : Marquinho
Joueur le + de fois remplacé : Florenzi 15
Joueur le plus averti : Burdisso 12
Joueur le plus expulsé : Tachtsidis 2
Joueur le plus âgé : Totti 36
Joueur le plus jeune : Romagnoli 18

Le man to man

* statistiques toutes compétitions confondues, source www.transfermarkt.co
* le barème des notes est italien

BOGDAN LOBONT (6 matches, 3 buts encaissés)

6

Considéré par Zeman comme troisième gardien, il ne s’en est jamais plaint, bien au contraire. Lobont a montré être particulièrement attaché aux couleurs de l’AS Roma et cela lui a permis d’être le gardien titulaire du sprint final de la saison. Malheureusement, ses qualités réactionnelles peu élevées ne font pas de lui un grand gardien.

MAURO GOICOECHEA (16 m. 4 b.e)

5

Réclamé par Zeman et parfaitement inconnu dans le football italien, il était considéré comme le second gardien. Son très grand match contre le Milan AC l’a d’ailleurs propulsé en tant que gardien number one. Malheureusement, par la suite il commet des bourdes inimaginables, dont un somptueux but contre son camp. L’option d’achat ne devrait donc pas être renouvelée pour l’uruguayen.

MAARTEN STEKELENBURG (22 m. 33 b.e)

4

Jamais Stekelenburg n’a démontré être attaché à l’AS Roma. Lorsqu’il est blessé ou suspendu, il n’accompagnait que peu de fois ses coéquipiers au stade pour les soutenir. Qui plus est, recruté l’an passé pour devenir l’un des meilleurs gardiens romains jamais vu, il n’a, cette saison, aucunement prouvé cette réputation. Sorties en retard, adepte des doubles sanctions (penalty + carte rouge), aucune réactivité, son futur sera loin de la capitale italienne, plus précisément en Angleterre où les offres de transferts se multiplient.

MARQUINHOS (33 m.)

7

En arrivant à l’aéroport de Rome, le brésilien débarque avec des écouteurs sur ses oreilles, de l’acné, un appareil dentaire et un look d’adolescent. Une fois placé dans la charnière centrale, c’est tout une autre histoire. Il demeure le titulaire indiscutable de la défense romaine et a parfaitement muselé les plus grands attaquants de la botte qu’il a eu à affronter. Alors que les plus grandes équipes européennes s’intéressent à lui, il devra faire le bon choix pour continuer à progresser.

LEANDRO CASTAN (34 m. 1 b.)

6,5

Arrivé dans la capitale italienne après avoir gagné le championnat brésilien et la Copa Libertadores, il démontre d’entrée avec les qualités pour être le leader de la défense giallorossa, au détriment d’un certain Nicolas Burdisso. Interception, vista, remontée offensive, élégance balle au pied, il devra toutefois confirmer la saison prochaine afin de pouvoir être considéré comme l’une des valeurs sûres.

NICOLAS BURDISSO (29 m. 1 b.)

5

La grinta, la volonté de gagner, la rage et l’implication ne font malheureusement pas tout. Le défenseur argentin a réalisé une mauvaise saison, trop souvent pris de vitesse, à contre-pied et se laissant tomber relativement vite.

ALESSIO ROMAGNOLI (3 m. 1 b.)

non-noté

Trois matches et un but pour sa première titularisation, le jeune défenseur romain a un avenir radieux devant lui. Espérons le voir plus souvent à l’œuvre la saison prochaine.

DODO (15 m.)

5

Il arrive blessé à Rome et se contente de récupérer une bonne condition physique au cours de la saison. Cependant, il n’est pas du tout au point défensivement et même si ses accélérations offensives sont plaisantes à regarder, ce n’est pas ce qu’on attend principalement d’un défenseur. Andreazzoli et Zeman l’essayeront d’ailleurs au milieu de terrain, sans succès.

FEDERICO BALZARETTI (32 m. 3 passes décisives)

4,5

On attendait beaucoup du latéral italien suite à son très beau championnat d’Europe. En vain. Il n’a jamais démarré sa saison, était toujours à la traîne en défense et se faisait régulièrement déborder. Toutefois, ses centres sont toujours aussi précis.

IVAN PIRIS (32 m. 5 p.d)

5,5

Prêté à l’AS Roma avec une option d’achat, le défenseur paraguayen a mis du temps pour s’adapter au championnat italien. Et quand il semblait enfin s’y adapter, Zeman l’a repositionné dans l’axe de la défense. Il reste, cependant, l’un des seuls latéraux romains à savoir centrer correctement, mais défensivement, il y a encore du boulot.

VASILIS TOROSIDIS (12 m. 2 b.)

6,5

En provenance de l’Olympiakos, le grec débarque à Trigoria en janvier où il se sent d’entrée à l’aise. Puissant défensivement, précis dans ses passes, il devrait en toute logique postuler à une place de titulaire à l’AS Roma la saison prochaine.

MICHAEL BRADLEY (35 m. 1 b. 2 p.d)

6,5

L’icône américaine des giallorossi n’en est pas seulement une. Bon patron du milieu de terrain en l’absence d’un De Rossi absent, Bradley défend, couvre la défense, protège et fait tourner le ballon, tout en créant le danger en multipliant les bonnes passes.

DANIELE DE ROSSI (29 m. 5 p.d)

5

Et de trois. Trois saisons où Il Futuro Capitano est à des années lumières de son niveau de jeu habituel. Toujours dans les mauvais coups, très rarement dans les bons, ses bons matches se font rares pour ne pas aller plus loin, la preuve étant que Tachtsidis lui a volé sa place de titulaire, et ça, ce n’est pas que de la faute de Zeman.

PANAGIOTIS TACHTSIDIS (23 m. 1 b. 2 p.d)

5

La même note que De Rossi, oui, vous ne rêvez pas. Mais pourquoi ? Tout simplement car l’on parle d’un pari, d’un milieu de terrain qui n’avait jamais évolué en Serie A et qui finalement, ne s’en est pas si mal sorti. Cependant, pour pouvoir espérer être un jour titulaire à la Roma, il devrait partir en prêt, jouer avec continuité, car pour l’instant, il n’a qu’un potentiel et n’est aucunement une valeur sûre.

MIRALEM PJANIC (29 m. 4 b. 8 p.d)

6,5

Saison positive pour celui qui a été le patron offensif du milieu de terrain de la Roma. Défensivement cependant, c’est encore faible, trop faible et même si ses qualités offensives sont indéniables, un milieu de terrain se doit de défendre d’une meilleure façon et plus régulièrement. Miralem a tout pour devenir l’un des hommes clefs des giallorossi nouvelle génération.

SIMONE PERROTTA (17 m. 2 b. 1 p.d)

6,5

Pour son professionnalisme, son implication, sa grinta et sa rage, Perrotta mériterait un 9, toutefois, il est sur la pente descendante et cela se comprend à son âge et surtout au fait de ne plus jouer pendant des mois, avant d’être repris en considération par son entraîneur.

ALESSANDRO FLORENZI (39 m. 4 b. 5 p.d)

7

Élu meilleur jeune de la Serie B l’an passé, le romain pur souche a montré être prêt pour la Serie A, a multiplié les grandes prestations, les buts et les passes décisives. Il a également fait preuve d’une générosité sans pareille sur les terrains de football, en étant partout, si bien devant que derrière. Florenzi a tout pour devenir un très grand milieu de terrain, il devra confirmer la saison prochaine.

MARQUINHO (29 m. 4 b. 2 p.d)

6,5

Peu considéré par Zeman, le milieu offensif est cantonné à un rôle de joker mais ne se laisse pas abattre. Lors des ses rentrées au jeu, le brésilien percute et offre des opportunités à ses coéquipiers. Son implication lui permettra d’ailleurs de jouer plus régulièrement avec Andreazzoli, qui apprécie ses qualités à juste titre.

RODRIGO TADDEI (6 m.)

non-noté

Un bout de match par-ci par-là et puis c’est tout pour un des anciens de l’effectif.

ERIK LAMELA (36 m. 15 b. 6 p.d)

7

Pour sa deuxième saison en Italie, le talent argentin a montré l’étendue de son talent. Il finit second meilleur buteur de l’AS Roma, marque, fait marquer, revient régulièrement défendre et se bat sur chaque ballon. Si ce n’est un manque de régularité et un manque d’altruisme, Erik Lamela a tout pour devenir un champion, mais actuellement, il est en devenir. Zdenek Zeman y a grandement contribué en étant très souvent derrière lui et finalement, ça a payé. L’an prochain sera l’année de la confirmation et si bien les tifosi que ses détracteurs sont impatients de voir le résultat.

NICOLAS LOPEZ (7 m. 1 b.)

non-noté

Premier match, première rentrée au jeu et premier but (somptueux qui plus est, lors de la première journée de championnat) et puis plus rien. Des minutes égarées à gauche et à droite. Destiné à être prêté la saison prochaine ?

FRANCESCO TOTTI (37 m. 12 b. 14 p.d)

8,5

Très grande saison pour le capitaine de l’AS Roma qui a mis knock-out son principal adversaire, à savoir son âge. Le cure Zeman lui a clairement été positive et Totti en a profité pour se faire une seconde jeunesse. Il revient défendre très bas, récupère des ballons, temporise, accélère le jeu, offre des caviars et tire ses coéquipiers vers l’avant. Lorsque le numéro 10 n’est pas sur le terrain, cela se voit, cela se ressent sur le jeu, pour quelqu’un qui est sensé régresser piano-piano, il prouve qu’il est toujours le patron sur la pelouse.

PABLO OSVALDO (31 m. 17 b. 2 p.d)

6,5

Statistiquement, la saison a été positive pour l’italo-argentin, cependant, ses frasques extra-sportives lui font perdre des points. Comme à son habitude, il se montre plus à l’aise lorsqu’il faut marquer un somptueux retourné acrobatique que pour cadrer une simple frappe, paradoxal dira-t-on. Après s’être pris la tête et avoir insulté Andreazzoli lors de la Coupe d’Italie, son futur semble s’éloigner de plus en plus de l’AS Roma, qui l’a chaleureusement accueilli. Un nouveau feuilleton débute pour le mercato estival.

MATTIA DESTRO (26 m. 11 b. 3 p.d)

6,5

Zeman l’a voulu et cela a payé. Meilleur buteur de la Coupe d’Italie, le jeune Mattia a démontré avoir de grandes qualités offensives. Cependant, les blessures l’ont poussé sur le banc de touche et la concurrence d’Osvaldo lui a causé préjudice. Son avenir devrait être dans la capitale italienne et il devra continuer à progresser pour devenir l’un des meilleurs buteurs italiens, ce qui est certain, c’est qu’il en a le potentiel.

Les entraineurs

ZDENEK ZEMAN (26 m. 13 v. 4 n. 9 d.)

5,5

Retour raté pour le Bohème à Trigoria, comme ses détracteurs le pensaient. En effet, s’il a contribué grandement à la montée en puissance de Lamela, Marquinhos, Destro et Pjanic (pour ne citer qu’eux) et la condition physique divine de Totti, Zeman a également démontré qu’il ne savait que peu varier son schéma sportif, ce qui a en grande partie engendré son échec. Des victoires de prestiges (Milan, Inter, Fiorentina) mais également des débâcles inexpliquées et inexplicables (Bologna, Cagliari,…).

AURELIO ANDREAZZOLI (16 m. 8 v. 4 n. 4 d.)

6

Il est dans le staff de l’AS Roma depuis l’ère Spalletti, Aurelio connaît donc très bien ses joueurs, ce qui lui permet de consolider le groupe, de réunir ses hommes afin de livrer une grande bataille pour le sprint final. Malheureusement, des coachings peu concevables l’ont conduits à l’échec, notamment en Coupe d’Italie. Toutefois, il devrait de nouveau avoir sa place dans le staff romain, dès qu’un nouvel entraîneur sera annoncé.

La saison prochaine

Deux saisons que les américains sont arrivés pour deux échecs. Pour la prochaine saison, il faudra sans aucun doute un entraîneur qui a du cran, qui a du caractère, qui sait ce qui veut et qui pourra faire rêver les supporters de l’AS Roma. Priorité toutefois au mercato car cela risque d’être mouvementé. Daniele De Rossi, Pablo Osvaldo et Maarten Stekelenburg devraient tous prendre la poudre escampette, des renouvellements de contrats doivent avoir lieu et des joueurs devraient être prêtés. Il faudra également renforcer le mercato, car les défenseurs latéraux sont clairement à la traîne, si ce n’est Torosidis et Piris, ce dernier doit cependant encore grandement progresser. Après deux saisons de transitions cauchemardesques, dès la prochaine édition du championnat italien, il faudra montrer un autre visage, du beau jeu, une crédibilité footballistique et surtout, se qualifier pour une Coupe Européenne.

Morane Murgia

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